jeudi 31 août 2017

ENCULE PAR 4 ROUTIERS

Quelle expérience que celle vécue la semaine passée en vacances.

Vers 22h00, ma voiture tombe en panne sur une route peu fréquentée. Je suis énervé, pas de portable donc je ne peu joindre personne. Seule solution marcher.

Bon ma tenue ne s'y prête pas trop, chaussure de ville et costume. Comme d'habitude je ne porte pas de sous-vêtement.

Me voilà en train de marcher et qu'il commence à pleuvoir.
Je râle encore plus, la pluie tombe et tombe, je suis transpercé mais heureusement il fait chaud.

Des phares, ouf, je vais pouvoir faire du stop.
Allons y, je tend mon pousse tout en marchant, un semi-remorque me dépasse mais finit par s'arrêter. je monte les deux marches et j'ouvre la porte.
A l'intérieur, un mec assez fort avec une tête de gros pervers, me dit allez mon gars viens, je te dépose à la prochaine station. Je le remercie.

Il me demande mon âge, je lui dit j'ai 44 ans. Il me répond que lui en a 59. Il se rend compte que je suis tout mouillé et dégoulinant.

D'un air assez directif, il me dit "enlève tes fringues, t'es trempé et en plus tu salopes mes fauteuil".

Je lui répond que ça va, il peu me déposer ici car je n'ai pas trop envie de me déshabiller surtout que je n'ai pas de sous vêtement.

Il refuse de me déposer car selon lui c'est trop dangereux.

Il insiste à nouveau pour que je me libère de mes vêtements trempés. Il ajoute "enlève les derrière et donne les moi devant pour que je les fasse sécher avec la soufflerie". Finalement à quoi bon, je passe à l'arrière et me fou complètement à poil sur sa couchette et lui balance mes vêtements devant chaussures, chaussettes, pantalon, chemise et veste. D'un air sadique il me dit "T'as pas de slip mec !!??"

Je lui répond que non.

Il ajoute "t'es une pute!!!"

D'un air choqué je lui dit « mais non ».

Il se retourne et voit mon pubis rasé avec juste une petite touffe. Il insiste et dit « t'as vu les poils au dessus de ton clitoris et je parie que ton trou est complètement rasé ».

Je ne peux le nier et ne dit rien.

Il me demande alors de me retourner pour qu'il puisse voir mon cul.A quoi bon je m'exécute car je suis convaincu que si je ne le fait pas il pourrait devenir violent et je n'ai pas envie de me faire casser la gueule. Contre un tel gars je ne ferais pas le poids et il faut dire que je commence à trouver cette situation excitante.

Je me retourne donc je suis à 4 pattes sur sa couchette cul vers l'avant. Lui tout en conduisant jette un œil et me dit que j'ai un cul de salope, il me demande d'écarter mes fesses. Je m'exécute comme sur la photo du profil. Ça le rend visiblement dingue, au début, je pensais que c'était un de ces sales types qui déteste les bi et gay mais me rend compte qu'il est gay à fond.

D'une main il me prends les fesses, me les tâte, passe bien sur mon trou, caresse mes couilles. Je bande à mort.

Il me traite de sale pute et me dit qu'il va me faire son affaire et que je vais voir ce que c'est d être baisé comme une chienne.

Je lui dit quand même que je n'en n'ai pas trop envie que ca suffit et que je veux descendre. Il s'énerve et me menace de ma casser la gueule si je fais pas ce qu'il veut. Ok je n'ai pas le choix, je n'ai certainement pas envie de me faire casser les dents. Je décide donc de jouer le jeu à fonds d'autant plus que je ne peux pas le nier cela m'excite. Il est toujours occupé à me caresser et doigter le cul. Il ralenti et finit par s'arrêter.

Il me dit qu'ici on est dans un endroit où personne ne viendra nous ennuyer.

Je suis toujours à 4 pattes cul exposé dans la cabine tête dans la couchette. J'ai l'impression d'être en vitrine. Le rideau séparant la cabine de la couchette est sur mon dos. Il me dit de ne surtout pas bouger. Je ne bouge pas.

Soudain, je sens quelque chose me pénétrer, ça ressemble à un tube.Il me dit de ne pas bouger et qu'il va me lubrifier ma chatte de pute. Oups, un gel m'envahit le cul, c'est de la vaseline. Il vient de me vider un tube complet dans le fion!

Je lui dit que ce n'était pas la peine de me remplir comme ça, qu'un peu était suffisant.

Visiblement non car selon lui j'allais déguster et que je devais être bien lubrifié. Il coupe le moteur de son camion. Je n'entends plus un bruit Il me demande de me retourner, il a sorti sa bite de son pantalon, quelle monstre, un gland super gros.

Il me dit passe devant et m'ordonne de le sucer. Il me dit que j'ai intérêt à bien le sucer si je ne veux pas de représailles.

Je m'exécute, je me glisse devant, je sens toute cette vaseline dans mon cul, une partie en sort et me lubrifie bien l'entre-fesse.

Je suis à 4 pattes, cul orienté vers la portière passager. Sa bite sent fort. J'ai presque de mal à mettre son gland en bouche tellement il est gros. Il mouille, j'adore la mouille je m'applique bien, je fais tourner ma langue à la base de son gland, je l'aspire, je le lèche tout en massant ses belles couilles.

Soudain la porte passager s'ouvre, d'un geste réflexe, je veux me retirer pour regarder mais il me tient la tête et me dit de continuer en me traitant de pute. Visiblement il connaît le mec, celui qui a ouvert la porte, dit d'un air sadique, c'est ça la pute que tu nous as amené ? Lui répond oui et elle suce du tonnerre.

Le mec commence à me doigter, d'abord un doigt, puis deux. J'éprouve du plaisir car il s'y prend très bien. Je n'ai qu'une envie me faire prendre.Soudain je sens une bite me pénétrer, elle est grosse. Je bande à mort.

Il m'encule vraiment bien, et je sens que mon petit cul étroit lui fait de l'effet. Il accélère le mouvement, me tient fermement les hanches et d'un mouvement de vas et vient rythmé avec ses coups de bites m'empale sur lui.

C'est délicieux, ce bruit de « flop flop » m'excite encore plus. Je suce le chauffeur de plus belle comme bercé par les coups de bite. Ma petite bite raide bouge en rythme. Après +/- 15 minutes, je comprends que celui qui m'encule va jouir car il pousse des râles de bête enragée.

Je suis toujours en train de sucer, je pompe et glisse bien ma langue à la base du gros gland du chauffeur, il apprécie, sa respiration s'accélère. C'est un signe. Mon massage de couille tout en le gobant fait monter la pression. Je sens ses grosses mains me tenir la tête, il ne veut plus que j'alterne entre léchage et suce. A la façon dont il tient ma tête, il est prêt à exploser. Je n'ai pas tort.

Soudain, il libère en plusieurs décharge une quantité impressionnante de foutre très épais. Il n'y a pas beaucoup de pression mais la quantité est énorme. Je n'arrive pas à tout avaler, sa coule le long de sa bite et ma main.

Il dit à son copain. « Cette sale pute avale en plus ».


Son jus est très épais que j'ai l'impression de devoir mâcher pour avaler. Une bonne quantité a coulé le long de sa bite, ses poils et sur ma main, je me régale en léchant tout et en m'appliquant comme il me l'a demandé. Je lui nettoie même les poils.

Je relèche les dernières gouttes lorsque l'autre décharge sur mon dos en poussant des râles de bête en rut...

La pression est telle que j'en sens même au niveau de mon cou. Oh oui, il l'étale avec sa mains, comme s'il me massait le dos. C'est bon.

Je pense en avoir fini et demande au chauffeur, OK j'ai fait ce que tu voulais, donne mes vêtements et dépose moi à la prochaine station service.

Il me dit que je suis tellement bonne que je dois encore satisfaire deux de ses copains. A quoi bon je suis lubrifié j'ai encore envie de foutre et suis excité à mort car je n'a pas encore juté. Il me demande de repasser dans la couchette mais cette fois de me coucher sur le dos et de laisser dépasser mon cul devant en fermant le rideau.

Je m'exécute.

Je l'entend discuter avec celui qui vient de me baiser et un troisième en ventant mes qualités.
Le chauffeur dit au troisième monte et sert toi. Le gars monte, je ne vois rien, j'entends juste discuter de moi et dire qu'il me verraient bien pour un gangbang / bukkake. Soudain, le mec me remonte les jambe et fait en sorte que mes talons se trouvent sur ses épaules, il se glisse en mois facilement.

Il m'encule plus fort, avec plus de violence. Sa bite me pénètre jusqu'à la garde. Il me tient les cuisses, ça ne dure pas longtemps. Après 5 minutes à peine, je sens son jus jaillir sur ma bite bandée et sur mon ventre.

Je ne peux m'empêcher de passer ma main par le rideau de la cabine qui masque le dessus de mon corps et me branler avec ce foutre.

Je jute en moins de 30 secondes. J'étale mon foutre mélangé au troisième sur mon ventre.

Je pue le sperme, j'aime ça.

Je me redresse, j'ai juté je n'ai maintenant plus envie de cul. Je suis fatigué. J'ai envie de prendre une douche et de pieuter.

Le chauffeur me dit : allez sale pute tu dois encore satisfaire le patriarche et puis je te dépose à la station. J'insiste en disant que cela suffit.

Il me dit, tu obéis sale pute et tu la fermes si tu veux pas avoir des dents en moins. Il me dit : mets toi à quatre pattes tête dans la cabine. OK va pour le dernier, à quoi bon, suis déjà catalogué et je ne vois pas pourquoi refuser alors que deux m'ont enculés, j'ai avalé tout le foutre du chauffeur.

Le mec semble assez vieux au ton de sa voix. Il se glisse en moi sans problème, sa bite est plus fine que celle des deux autres. Il m'encule bien, ca dure longtemps. Il me tient les hanches comme j'aime.

Ses vas et viens sont bon, après plus ou moins 15 minutes, je recommence à bander. J'entends juste les commentaires du chauffeur qui dit « mais tu bandes à nouveau sale pute ». Je ne sais répondre que par des gémissements.

Soudain je sens une bouche sur ma bite, ça doit être le chauffeur qui me suce pendant que le patriarche continue à me limer.

Ça fait maintenant bien 30 minutes que le patriarche me lime. Sa respiration s'accélère, je sens qu'il va juter. Bien vu.

Quelques instants plus tard. Il me dit : allez salope montre ta gueule.

Spontanément, je me retourne, me met sur le dos cul dans la couchette, la tête dépassant vers l'avant, bouche ouverte et langue bien sortie, je vois sa bite, il se branle. Je vois aussi que le chauffeur se branle. Quoi il va encore juter. Mais je lui ai déjà vidé les couilles!

Le patriarche jute, il n'y a pas beaucoup de jus mais il est épais comme j'aime. Ma langue en est couverte.

Au moment où je veux avaler le chauffeur me demande d'attendre un moment. Il se branle très vite au dessus de ma bouche, j'essaye autant que possible de lui lécher les couilles, j'ai toujours je jus épais du patriarche en bouche.

Oh oui le chauffeur vient, je sens sa respiration s'accélérer, il jute juste sur ma langue qui dépasse. Je suis étonné, malgré que je lui ai vidé les couilles une heure avant il décharge encore pas mal. Son sperme chaud gicle sur ma langue.

Mmmmmmmh, c'est bon. Le patriarche regarde toujours d'un regard insistant. Je montre que j'aime ces deux jus en jouant avec ma langue dans ma bouche. Je mâche et j'avale.

Cette fois-ci j'ai eu ma dose.

Le chauffeur me remercie et dit que j'ai été parfait. J'apprécie le compliment.

Il me donne mes vêtements. Je m'habille. Il me conduit à la station service.

J'ai vraiment apprécié cette aventure. J'adore les routiers !

1 commentaire:

  1. hum , super histoire, ses suis également une bonne pute mâle qui aimerai
    satisfaire les routiers

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